LA COOPÉRATION
LA COOPÉRATION
Coopération vient du latin, co, ensemble, operandi, travailler, opérer ; opérer ou travailler conjointement avec quelqu’un.
» La coopération consiste en interactions ordonnées, en une oeuvre collective et harmonieuse orientée vers un objectif commun : c’est l’harmonie et l’assistance mutuelle. »
Nous pouvons considérer que tous les actes qui perturbent les relations humaines sont opposées aux règles de la coopération. Tous les actes dont l’effet est d’éliminer les frictions et les antagonismes dans les relations humaines semblent s’accorder avec les règles de la coopération.
On peut considérer que les actes qui stimulent et renforcent ces qualités sont conformes aux règles de la coopération et que les enfreint tout acte qui crée la mésentente, les heurts et l’hostilité.
Pour ce qui est de l’harmonie dans les relations intimes, en particulier, il est impératif que les règles de la coopération soient observées, puisque l’union commune est la forme de vie la plus étroite, l’association la plus intime qui puisse exister entre deux être humains.

Quand la satisfaction de nos instincts sexuels, de nos préoccupations sociales, et de notre soif de sécurité matérielle devient le premier but de notre existence, alors l’orgueil intervient pour justifier nos excès.
L’orgueil est la source principale de la plupart des difficultés humaines, le principal obstacle au vrai progrès. L’orgueil , cette vanité nous leurre et nous amène à exiger de nous-mêmes et des autres des choses qui ne peuvent être obtenues sans pervertir ou sans gaspiller les instincts qui nous ont été donnés par l’Esprit Divin.
Quand la satisfaction de nos instincts sexuels, de nos préoccupations sociales, et de notre soif de sécurité matérielle devient le premier but de notre existence, alors l’orgueil intervient pour justifier nos excès.
Nous ne pouvons atteindre »l’humilité pour aujourd’hui » que dans la mesure ou nous réussissons à éviter, d’une part, le bas marécage des sentiments de culpabilité ou de révolte, et d’autre part, cette haute-terre, belle mais décevante, parsemée des fausses pièces d’or de l’orgueil. C’est dans la voie située entre ces deux extrêmes que nous réussissons à atteindre la voie de l’humilité et à y demeurer. Alors, un inventaire perpétuel, capable de m’avertir, dès que je m’éloigne de cette voie, demeure sans cesse une priorité.
Ce culte est la voie de la Peur, il faut que j’assure mais en fait, ce n’est qu’une illusion, seule la confiance en soi est essentielle.
Publié le 30 mars 2013, dans Psychologie et réalité, et marqué Organisations. Mettre ce permalien en signet. Laisser un commentaire.
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